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Appel à communications Journée d’études « Le genre au croisement des disciplines académiques »
Publié le 27 janvier 2025
–
Mis à jour le 27 janvier 2025
Date(s)
Date limite de candidature : 16 février 2025
Appel à communications
Journée d’études
« Le genre au croisement des disciplines académiques »
-
Événement organisé par Emma Roques, doctorante au CREA / ED 138, dans le cadre du
Mois de l’égalité 2025 porté par la Mission égalité et non-discrimination de l’Université Paris
Nanterre et financé par la CVEC
-
Journée d’études
« Le genre au croisement des disciplines académiques »
-
Événement organisé par Emma Roques, doctorante au CREA / ED 138, dans le cadre du
Mois de l’égalité 2025 porté par la Mission égalité et non-discrimination de l’Université Paris
Nanterre et financé par la CVEC
-
Date : le vendredi 7 mars 2025
Lieu : Université Paris Nanterre
-
Modalités de participation :
Nous accueillons toute proposition qui traite des enjeux du genre, des études de genres, des approches féministes et / ou queer ou LGBTQI+ dans la recherche. Des travaux de
masterant.es et de doctorant.es de toutes disciplines, départements et écoles doctorales sont les bienvenus. Les communications à plusieurs sont également acceptées.
Les propositions de communication doivent être rédigées en français (300 mots et une courte bibliographie indicative) et être accompagnées par une note biographique brève. A envoyer à : emma.roques@parisnanterre.fr avant le 16 février 2025.
Les propositions de communication retenues devront donner lieu à des présentations de 15- 20 minutes accompagnées d’un PowerPoint (dans la mesure du possible).
Appel à communication :
Les études de genre – autrement appelées études genre, Gender Studies ou encore études sur le genre – constituent un champ de recherche interdisciplinaire riche mais encore peu
représenté en France. On compte 12 masters Genre en France et seulement trois laboratoires de recherche dédiés en université. Néanmoins, les travaux de recherche en master ou doctorat sur le sujet sont nombreux. En effet, les analyses de genre, et les approches féministes, intersectionnelles, queers ou sous le prisme LGBTQI+ sont répandues dans diverses
disciplines, ces méthodes ayant prouvées leur intérêt scientifique. Ainsi, l’étude de l’histoire, de l’histoire de l’art, du langage, de la littérature ou encore de la micro-économie peut se faire sous le prisme du genre, à titre d’exemple. Néanmoins, l’influence des études de genre ne se fait pas que dans les sciences humaines et sociales (SHS ; ALL et DEG)1 elles ont aussi un impact important et croissant dans les domaines scientifiques, technologiques et de santé
(STS).
De plus, de nombreux organes porteurs de la recherche (laboratoires, écoles doctorales, agences de financement, Union Européenne) encouragent vivement les chercheurs et
chercheuses à intégrer la notion de genre dans leurs travaux, il s’agit par exemple de s’intéresser au genre lorsque l’on fait de la recherche biomédicale, de l’économie ou encore des
sciences informatiques. Ainsi, le genre apparait comme un critère utile pour réfléchir à nos structures sociales, historiques mais aussi aux avancées possibles en matière de santé, biologie, technologies, etc.
Enfin, une réflexion sur les violences sexuelles et sexistes, leur traitement et conséquences peut être également envisagée dans le cadre de cette journée d’études.
Cet appel à communications se veut suffisamment large pour accueillir des communications variées et originales sur le sujet. Il s’agit avant tout de montrer comment le genre peut être un outil méthodologique, une thématique de recherche ou encore un domaine disciplinaire dans lequel s’inscrire pour réfléchir à nos structures sociales et de pensée, mais aussi faire avancer la science.
Exemples d’interventions possibles (ceci est à titre d’exemple non exhaustif) :
- La représentation des femmes dans le cinéma américain ;
- Présentation d’un collectif d’historiennes de l’art féministes ;
- L’inclusion du critère genre dans les projets de recherche européens ;
- Genre et santé ;
- Etude des discours féministes sur X ;
- L’histoire des études de genre en France ;
- « Littératures de femmes ? » ;
- Etudes sur la masculinisation des sciences informatiques ;
- Le traitement des VSS dans les établissements d’enseignement supérieur, etc.
Lieu : Université Paris Nanterre
-
Modalités de participation :
Nous accueillons toute proposition qui traite des enjeux du genre, des études de genres, des approches féministes et / ou queer ou LGBTQI+ dans la recherche. Des travaux de
masterant.es et de doctorant.es de toutes disciplines, départements et écoles doctorales sont les bienvenus. Les communications à plusieurs sont également acceptées.
Les propositions de communication doivent être rédigées en français (300 mots et une courte bibliographie indicative) et être accompagnées par une note biographique brève. A envoyer à : emma.roques@parisnanterre.fr avant le 16 février 2025.
Les propositions de communication retenues devront donner lieu à des présentations de 15- 20 minutes accompagnées d’un PowerPoint (dans la mesure du possible).
Appel à communication :
Les études de genre – autrement appelées études genre, Gender Studies ou encore études sur le genre – constituent un champ de recherche interdisciplinaire riche mais encore peu
représenté en France. On compte 12 masters Genre en France et seulement trois laboratoires de recherche dédiés en université. Néanmoins, les travaux de recherche en master ou doctorat sur le sujet sont nombreux. En effet, les analyses de genre, et les approches féministes, intersectionnelles, queers ou sous le prisme LGBTQI+ sont répandues dans diverses
disciplines, ces méthodes ayant prouvées leur intérêt scientifique. Ainsi, l’étude de l’histoire, de l’histoire de l’art, du langage, de la littérature ou encore de la micro-économie peut se faire sous le prisme du genre, à titre d’exemple. Néanmoins, l’influence des études de genre ne se fait pas que dans les sciences humaines et sociales (SHS ; ALL et DEG)1 elles ont aussi un impact important et croissant dans les domaines scientifiques, technologiques et de santé
(STS).
De plus, de nombreux organes porteurs de la recherche (laboratoires, écoles doctorales, agences de financement, Union Européenne) encouragent vivement les chercheurs et
chercheuses à intégrer la notion de genre dans leurs travaux, il s’agit par exemple de s’intéresser au genre lorsque l’on fait de la recherche biomédicale, de l’économie ou encore des
sciences informatiques. Ainsi, le genre apparait comme un critère utile pour réfléchir à nos structures sociales, historiques mais aussi aux avancées possibles en matière de santé, biologie, technologies, etc.
Enfin, une réflexion sur les violences sexuelles et sexistes, leur traitement et conséquences peut être également envisagée dans le cadre de cette journée d’études.
Cet appel à communications se veut suffisamment large pour accueillir des communications variées et originales sur le sujet. Il s’agit avant tout de montrer comment le genre peut être un outil méthodologique, une thématique de recherche ou encore un domaine disciplinaire dans lequel s’inscrire pour réfléchir à nos structures sociales et de pensée, mais aussi faire avancer la science.
Exemples d’interventions possibles (ceci est à titre d’exemple non exhaustif) :
- La représentation des femmes dans le cinéma américain ;
- Présentation d’un collectif d’historiennes de l’art féministes ;
- L’inclusion du critère genre dans les projets de recherche européens ;
- Genre et santé ;
- Etude des discours féministes sur X ;
- L’histoire des études de genre en France ;
- « Littératures de femmes ? » ;
- Etudes sur la masculinisation des sciences informatiques ;
- Le traitement des VSS dans les établissements d’enseignement supérieur, etc.
Mis à jour le 27 janvier 2025